PARISUDAM

CRÉATEUR DE TERRITOIRES URBAINS ET DE NOUVEAUX ÉCO-SYSTÈMES

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ll s’appelle Julien. Il vit à Palaiseau, a grandi à Villebon-sur-Yvette, travaille à Massy. À croire que son périmètre de vie est calibré au compas, centre en sud-francilien, rayon de 5 km. Pas étonnant : Julien est un produit local, une AOC du territoire. Le genre à pouvoir te faire une carte mentale du secteur RER B sud en moins de cinq minutes, croquis à l’appui.

Julien, c’est ce type qui a choisi le droit public parce que « le droit privé, tout le monde faisait ça, il fallait se démarquer ». Il est tombé dans l’urbanisme par une étrange entrée : l’histoire antique, Ipodamos, le plan en damier, les cités grecques. « On peut organiser la vie des gens en dessinant les rues », qu’il dit, l’œil qui pétille. Ajoute à ça un master en droit immobilier, un mémoire sur la définition européenne du logement social, et le portrait s’affine : Julien navigue entre intérêt général, droit et urbanisme, sans GPS.

Après des expériences chez Perl, filiale de Nexity spécialisée en Usufruit Locatif Social, et REALITES, promoteur et développeur territorial, le voilà chez Paris Sud Aménagement. Pourquoi ? Il voulait allez à la racine des projets, comprendre pourquoi on fait les choses, pas juste comment, et aussi, parce que c’est à dix minutes à pied ! L’alignement des planètes parfait : faire du juridique et de l’opérationnel, sur son territoire. À croire que le poste l’attendait avec un panneau « Bienvenue chez toi ».

Aujourd’hui, Julien, c’est le sismographe juridique de Parisudam. Il éclaire les promoteurs, structure la foncière Rez-de-ville, sécurise l’urbanisme transitoire, et quand il ne rédige pas une convention, il joue les chefs d’orchestre sur ses opérations. Le tout en musique, bien sûr. Car Julien travaille en stéréo, toujours une playlist dans les oreilles, beaucoup de vinyles à la maison (bel objet, forcément). Comprendre les gens à travers ce qu’ils écoutent ? Il y croit dur comme fer. Il n’y a pas de mauvaise musique, juste des bonnes raisons de l’aimer.

Dans la fabrique de la ville, ce qu’il préfère, ce sont les « moments de ville », ces instants où un lieu devient un souvenir, une habitude, un repère. Quand il bosse sur un projet, il commence par fermer les yeux : Il imagine les usages, les rythmes de vie, les trajectoires du quotidien. Parce qu’avant de penser « foncier », Julien pense « contenu ». Pour lui, la ville, c’est un décor au service des histoires qu’on y vit.

Bref, Julien, c’est un juriste qui rêve d’espace vécu, un aménageur qui pense en chanson. Et franchement, on n’en croise pas tous les jours.

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